"l'ombre de ce que nous avons été" de Luis Sépulvéda est disponble au café "le bon accueil" à Astafort
Page 1 sur 1
"l'ombre de ce que nous avons été" de Luis Sépulvéda est disponble au café "le bon accueil" à Astafort
« Rendez-vous d'amour dans un pays en guerre. » Une phrase que l'on ne se lasse pas de lire tant elle dit l'impossible, tant elle donne, malgré tout, à rêver, espérer. Une phrase qui va à merveille à l'écrivain Luis Sepúlveda - elle fait d'ailleurs le titre d'un de ses recueils de nouvelles, paru en 1997 - et qui pourrait être la quintessence de son oeuvre, quinze livres à ce jour, dont le tout nouveau roman à l'intitulé non moins poétique, L'Ombre de ce que nous avons été.
Nul doute que l'écrivain chilien, qui connut les geôles de Pinochet, l'exil, l'errance d'un pays à l'autre, aimerait encore imaginer des histoires d'amour, ne serait-ce que pour faire plaisir à son « vieux », celui « qui lisait des romans d'amour » (son premier roman, publié en 1992) et ravir encore ses lecteurs. Mais le temps qui passe, même chargé de voyages, de rencontres, et d'écriture, ne peut cicatriser les fêlures. Sepúlveda, conteur sans frontières, révolté au grand coeur, chasse haine et nostalgie et nous revient avec une histoire vitaminée, à la narration cocasse, entre polar déjanté et fable politique, et suggère une interrogation sans fin : qu'avons-nous fait de nos utopies ? Qu'avons-nous fait de nous-mêmes ?
Martine Laval - Telerama n° 3132, en savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/l-ombre-de-ce-que-nous-avons-ete,51632.php#Vx0FEkdkRu7R1Whf.99
Nul doute que l'écrivain chilien, qui connut les geôles de Pinochet, l'exil, l'errance d'un pays à l'autre, aimerait encore imaginer des histoires d'amour, ne serait-ce que pour faire plaisir à son « vieux », celui « qui lisait des romans d'amour » (son premier roman, publié en 1992) et ravir encore ses lecteurs. Mais le temps qui passe, même chargé de voyages, de rencontres, et d'écriture, ne peut cicatriser les fêlures. Sepúlveda, conteur sans frontières, révolté au grand coeur, chasse haine et nostalgie et nous revient avec une histoire vitaminée, à la narration cocasse, entre polar déjanté et fable politique, et suggère une interrogation sans fin : qu'avons-nous fait de nos utopies ? Qu'avons-nous fait de nous-mêmes ?
Martine Laval - Telerama n° 3132, en savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/l-ombre-de-ce-que-nous-avons-ete,51632.php#Vx0FEkdkRu7R1Whf.99
Sujets similaires
» "Petit ours brun est grognon" est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "Eldorado" de Laurent Gaudé est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "Petit ours brun et les oeufs de Pâques" est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "Petit ours brun aime la musique" est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "les identités meutrières" de Amin Maalouf est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "Eldorado" de Laurent Gaudé est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "Petit ours brun et les oeufs de Pâques" est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "Petit ours brun aime la musique" est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
» "les identités meutrières" de Amin Maalouf est disponible au café "le bon accueil" à Astafort
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|